Laura à la Havane

par Ángel Santiesteban

Couverture d’ouvrage : Laura à la Havane
Éditions :Paperback : 14,00 €
ISBN : 9782918112327

… [Ce] que réussit Ángel Santiesteban dans ses nouvelles, c’est [ la description ] des fragments de la réalité cubaine de ces dernières années : la censure, la guerre d’Angola, les départs sur des radeaux, la prostitution, la prison, la vie quotidienne, mais ses histoires sont beaucoup plus que de simples narrations ou constatations des faits, car parfois, bien qu’énoncées dans l’espace physique national, elles peuvent parfaitement être lues dans une perspective beaucoup plus ample.

Il y a dans ce livre des nouvelles terribles ou humoristiques, des personnages qui font mal ou nous inspirent de la tendresse, des histoires qui nous bouleversent ou nous indignent. Il y a la vie et la mort, mais rien n’est en « noir et blanc », car derrière chaque ligne, il y a surtout quelqu’un qui sait écrire des histoires et qui perçoit la complexité de la société et de la condition humaine. C’est sans doute pour cela que les nouvelles de Ángel Santiesteban me trottent dans la tête bien des jours après les avoir lues. Elles sont bonnes. Très bonnes. Il est impossible d’y être indifférent.

(…) Il y a là un grand écrivain. Pour ma part, je l’admire, ses nouvelles feront le reste.

(Extrait de la préface de Karla Suárez)

Critique sur América latina, le blog du journal Le monde, suite à l'emprisonnement de l'auteur

Critique de "Laura à la Havanne" sur le site de Zibeline

Laura à la Havane' sur Radio PFM 

 

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Maison d’édition : L'atinoir
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À propos de l’auteur

Écrivain, diplômé en études inématographiques. Il obtient une mention en 1989 au Concours de nouvelles uan Rulfo de Radio France International.
En 1992 il est finaliste du Prix Casa de las Américas. Il remporte, en 1995 le Prix UNEAC pour son livre de nouvelles Sueño de un día de verano, en 2001 le Prix Alejo Carpentier pour e recueil Los hijos que nadie quiso, et en 2006 le Prix Casa de las Américas our le livre Dichosos los que lloran. Il tient à La Havane un blog réfractaire ortant le nom de l'une de ses nouvelles Les enfants dont personne n'a voulu qui est le premier texte de Laura à la Havane.
Son opposition au régime lui a valu plusieurs années d'emprisonnement.
Ángel Santiesteban est publié pour la première ois en France.